Erreur sur la personne L’Ennemi Intérieur

, par MiKaël Navarro

L’aventure commence sur la route d’Altdorf, le Festag 24 Jahrdrung 2512, à quelques heures de marche de Delberz.

Frederik, Reinhold et Gamrund partent de Delberz dans le but de devenir aventuriers. Pour cela ils comptent répondre à l’appel du Prince de la Couronne Hedgard von Tasseninck qui est à la recherche d’aventuriers courageux pour une mission dans une région inexplorée des Montagnes Grises.

On retrouve donc nos aventuriers, le soir sur la route d’Altdorf, en vue de l’auberge-relais « La Diligence » où ils espèrent trouver une diligence.

Justement une diligence est en train de sortir. Elle porte l’emblème des Quatres Saisons.
Gamrund s’interposa devant la diligence.
— Halte là !
Le cocher, tout en fouettant ses chevaux, lui lança alors un coup de fouet en lui criant de s’écarter du chemin…
Gamrund, pensant, par son autorité, arrêter la diligence se fit renverser par les chevaux. Face contre terre il se retrouva dans le fossé !

Blessé, Gamrund et ses compagnons pénétrèrent alors dans la cour de l’auberge-relais…

La cour est très animée, l’odeur du fumier plane dans l’air. Deux palefreniers, devant les écuries, s’emploient à bouchonner un équipage de quatre chevaux. De l’auberge elle-même proviennent de délicieuses odeurs de cuisine et de rires joyeux.

Nos aventuriers se rendirent directement à l’auberge.

Accoudé au bar, un homme habillé avec soins (chemise à dentelles, veste brodée, cheveux longs et bouclés avec un faux grain de beauté sur la joue gauche) toise nos nouveaux arrivants.
Proche du bar, ce qui semble être les deux cochers de la diligence que vous avez aperçu dans la cours échangent des plaisanteries et rient à gorge déployées tout en s’afférant à se saouler…
De l’autre côté de la salle, près du feu, une jeune femme fort bien vêtue est installée à une table en compagnie de deux autres femmes. L’une est grande et fortement charpentée alors que l’autre est petite et fine. Elles jettent un regard glacial sur nos compagnons.
À une autre table, un jeune homme semble absorbé par la lecture d’un livre.
Derrière le comptoir, un serveur plutôt maigre contraste avec l’embonpoint du propriétaire qui est à côté de lui.

Avant que les aventuriers n’aient pu faire quoi que ce soit, le propriétaire gras et expansif s’approcha d’eux en se dandinant. Son sourire est chaleureux el il les accueilli avec son exubérance coutumière : (Gustav)
— Bonsoir ! Soyez les bienvenus à La Diligence. Asseyez-vous, amenez la chaise près du feu, vous serez bien au chaud. Vous voulez à boire, à manger ? Oui ? Oh, bien sûr, à boire d’abord, suis-je bête !

Nos aventuriers décidèrent d’aller plutôt au comptoir pour prendre un bonne bière et Frederik prit un repas.
Les autres voyageurs ne portèrent que peu d’intérêt à nos aventuriers, seul l’homme au bar semblait les observer.

Frederik décida de l’aborder… Sympathique, Philippe Destrées, entama la discussion… Il se présenta comme un voyageur originaire de Parravon, en Bretonie. Il parcours l’Empire depuis maintenant six mois.
Frederik apprit aussi de lui que la jeune femme au fond est Dame Isolde von Strudeldorf, une jeune noble voyageant avec sa servante Janna et son garde du corps Marie auquel il n’est pas souhaitable de se frotter ;

Le jeune homme est lui est estudiant en médecine, prénommé Ernst Heidlemann il est pas très causant.
Gamrund alla le voire pour se faire penser ses blessures…

Nos deux autres comparses apprirent eux, de la bouche de Gustav, que les deux hommes dans le coin sont les cochers de la diligence appartenant aux Lignes du Rochet de Altdorf et que peut-être il reste des places…

Reinhold, s’approcha d’eux et obtient avec eux trois places à bord de la diligence. Et malgré le fait que les cochers étaient ivres mort, il négocia 7 CO / personne pour le voyage jusqu’à Altdorf.

La soirée s’avançait, les discussions allaient de bon train surtout avec Gustav… Nos aventuriers apprirent notamment que la route d’Altdorf n’était par très sûre :
— Pas plus tard que la semaine dernière un cocher a failli être attaqué. Des bandits, il serait temps que l’Empereur s’occupe des pauvres gens !plutôt que de dépenser de l’argent pour ses armées !
— Et, entre nous, ne vous écartez pas de la route pour passer dans les bois. Ceux qui l’on fait n’en sont jamais revenus, ils ont été dévorés par les Hommes-Bêtes ou quelque chose de pire encore.
— On raconte même qu’une femme de Silberwurt a donné naissance à un enfant cornu aux pieds fourchus. Le prêtre local de Sigmar l’aurait fait brûlé !

De son côté, Frederik fit une partie de cartes avec Philippe… En veine ce soir il s’en sorti pas mal.

Le voyage

La lendemain matin (Wellentag 25 Jahrdrung) le temps est brumeux et couvert.

Les passagers se rassemblèrent dans la salle commune de l’auberge vers 8h. Le petit déjeuner fut servi par Gustav. Les deux cochers n’étaient pas encore là. À 9h toujours pas là ! Un coup d’œil à l’extérieur, la diligence n’était toujours pas préparée.
Gamrund décida alors d’aller réveiller les deux cocher, visiblement ils n’ont toujours pas récupérés de leur beuverie de la nuit précédente.
Les réveiller ne posa pas trop de problème mais tenir une conversation intelligible avec eux s’avéra beaucoup plus difficile. Ils souffrent d’une monstrueuse gueule de bois !
La diligence enfin prête, Dame Isolde refusa tout net de se retrouver serrée dans un véhicule avec des roturiers :
— C’est déjà bien assez de voyager en compagnie de la gueusaille sans recevoir leurs coudes et leurs genoux dans la figure.
Finalement nos jeunes aventuriers se résignèrent à voyager sur le toit…

La diligence est enfin mise en route mais à une allure très modérée, environ 3 km à l’heure ! Voyant que les cochers ne sont pas visiblement en état de conduire l’attelage, c’est Frederik qui s’en chargea. Enfin à allure normale, notre cocher s’arrangea à passer par tous les nids de poule et ornières possibles afin de rendre le voyage le plus désagréable possible à Dame Isolde. Mais au bout d’une petite heure, au détour d’une petite colline une roue se détacha. Frederik arriva tant bien que mal à éviter la catastrophe. Il faudra pas moins d’une heure, avec l’aide de Marie, pour réparer…

Enfin remise en marche, c’est maintenant la pluie qui s’invita sur le voyage. Arrivé à un carrefour, la diligence arrive sur la route principale qui va de Altdorf à Middenheim. Un panneau indique clairement que Altdorf est à 72 kilomètres. Une auberge-relais est au carrefour mais les cochers ne s’y arrêtèrent pas, elle appartient à une autre compagnie, celle des Quatre Saisons.

Deux heures après le passage du carrefour, une silhouette humaine dos à la route, est penchée sur un cadavre d’un cocher des Quatre Saisons. La forme se retourne et les aventuriers, horrifiés, découvrent une main humaine, tranchée, qui pend de la bouche dégoûtante de la créature. Sa peau pend en lambeaux sur son visage, sur ses mains et une viscosité verte coule de ses yeux. Crachant la main tranchée elle se rua sur la diligence. Les chevaux paniquèrent mordant leurs rênes pour les couper. Hultz fut projeté au sol derrière les chevaux ; Gunnar s’évertuant à tirer le frein pour empêcher le véhicule de se fracasser sur les arbres. Il parvint à l’arrêter mais se figea de terreur en voyant la créature bondir vers lui.

Gamrund heureusement maître de ses esprit tira un carreau d’arbalète et arrêta la créature.

En examinant le cadavre du cocher à la main tranchée, Gamrund remarqua qu’il a été tué par un carreau d’arbalète dans la gorge. Les traces de sa diligence continuent sur la route…

Mais soudain, un cri bestial résonna dans l’air, provenant d’un peu plus loin dans le virage. Des craquements se faisaient également entendre dans les sous-bois. Quelque chose se dirigeait vers eux à toute vitesse !
— Ne tirez pas, c’est moi, Hultz !
Hultz avait été emporté par les chevaux, ils se sont réfugiés un peu plus loin dans une clairière. Il se proposa avec Gunnar pour aller les récupérer pendant que nos aventuriers aillent s’enquérir de l’origine des cris…

Et, effectivement, au delà du virage Reinhold fut témoin d’une scène horrible : une diligence gît, retournée en travers de la route, deux de ses chevaux tentent désespérément de se libérer pendant qu’une créature au corps épais mais à la tête incroyablement petite s’acharne à les charcuter à coup de hache. Un humain à tête de chien est allongé près de la diligence et hurle. Le sang gicle d’une blessure au bras pendant qu’au autre mutant à la tête pointue tente de lui mettre un bandage. Un autre, aux pieds fourchus, est en train de festoyer sur le cadavre d’un enfant. Un homme à la peau couverte d’écailles est en train d’inspecter les corps éparpillés. il porte une arbalète chargée.

Les ayant pris par surprise, et encore à quelques dizaines de mètres en amont sur le chemin, nos aventuriers avec l’aide de Philippe décidèrent d’envoyer une volée de projectiles avant que les mutants ne réagissent.
Les premiers mutants tombèrent, un autre fut achevé tandis que le dernier pris la fuite dans les bois.
Les cadavres étaient ceux d’un cocher, d’un jeune enfant et de ses parents (artisans), d’un initié de Sigmar et d’un manouvrier.
Et plus loin, recroquevillé dans les broussailles, un autre corps gisait, deux carreaux d’arbalète dans le dos. Reinhold, en retournant ce corps, fut pris alors d’un choc : c’est son sosie !

Sortant à moitié de la poche de sa veste, il découvrit un parchemin taché de sang. (Il s’agissait d’une lettre annonçant l’héritage de Kastor Lieberung. Chose qu’il se gardent bien de dire à Frederik).

Quelques instants plus tard cinq Patrouilleurs ruraux arrivèrent sur les lieux, menés par un certain Magnus Athrecht. Ils se chargèrent de prendre la suite après avoir félicité les aventuriers. Le reste du voyage se déroula sans encombre, escortés par les patrouilleurs.
Au moment où la nuit tomba, la diligence arriva à la dernière auberge avant Altdorf (25 Jahrdrung).
À l’auberge des Sept Rayons, Dame Isolde, Janna et Marie abandonnèrent la diligence pour poursuivre leur voyage dans l’une de celle de la Compagnie des Quatre Saisons qui partait vers la capitale dès le matin.

Altdorf

Enfin en vue d’Altdorf (26 Jahrdrung), la capitale de l’Empire, on pouvait entrevoir le palais impérial qui se dresse au dessus du Reik, dominant la ville.

Après des formalités interminables à l’entrée de la ville, la diligence arriva enfin, en fin d’après-midi, sur la Königsplatz (la Place du Roi) qui surplombe le fleuve. Là un certain nombre de rabatteurs des différentes auberges se précipitèrent sur nos voyageurs.
— Venez à l’auberge du Chat Violoniste, la meilleur cuisine et les meilleurs lits !
Nos aventuriers décidèrent d’en suivre un…

Dans la confusion qui régnait sur la place, Reinhold s’aperçu que deux hommes, des Altdorfiens ordinaires, s’approchaient de lui tout en le regardant fixement et en se grattant l’oreille gauche avec l’auriculaire de la main droite avec insistance.
Ne sachant quoi faire, Reinhold essaya de s’approcher d’eux…
Mais un instant plus tard, les deux hommes s’en allèrent rapidement rejoindre un homme de solide corpulence se tenant près de la porte d’une maison non loin de là. Ils disparurent à l’intérieur.

Dans cette cohue Gamrund est interpellé par son nom :

— Non d’un p’tit bateau ! Ça c’est une surprise, c’est moi ! Josef !
Se tournant vers l’origine der cri, Gamrund découvrit un robuste bonhomme avec une barbe gigantesque qui s’empressait de le rejoindre. Il s’agissait de Josef Quartjin, un batelier itinérant du Reik, et un vieux comparse. Il y a près de dix ans que Gamrund le connait, et ils ont passé de nombreuses heures ensemble dans les tavernes qui bordent le fleuve. Sa consommation d’alcool est tout bonnement phénoménale !

Heureux d’avoir retrouvé son vieux copain, Josef proposa à notre équipe d’aventuriers de poser leur sac dans une taverne pour écluser une ou deux bouteilles de vin. Il les conduisit jusqu’au fleuve à la l’Auberge du Batelier, l’un des nombreux établissements du même type le long des quais. Un endroit gai, bien que quelque peu défraîchi. À l’intérieur les clients étaient essentiellement des gens vivant du fleuve, bateliers pour la plupart, mais des marins aussi. L’ambiance était cordiale et sympathique, les boissons et la nourriture à des prix raisonnables et de bonne qualité.

Sur place ils apprirent que le Prince von Tasseninck est déjà parti, la veille au matin, pour les montagnes grises. Bon, de toute façon les nains n’étaient les bienvenus !
Josef proposa alors à son ami et à ses compagnons de l’accompagner jusqu’à Bögenhafen, où il comptait y vendre du vin de Reikland lors de la foire du Shaffenfest, il avait en effet besoin de main d’œuvre (et d’escorte, les environs étaient selon les rumeurs infestés de mutants ou autres Démonistes ou Nécromants) et était prêt à payer 10/- par jour et par personne. N’ayant rien de mieux à faire, non aventuriers acceptèrent et furent invités sur le bateau de Josef pour un départ dès le lendemain matin par le canal de Weibbruck…

Après quelques verres de vin et un bon repas, la porte de l’auberge s’ouvrit brutalement, et un personnage entra d’un pas nonchalant. Grand, décharné, son visage aux traits aquilins était barré d’une cicatrice. Tous les clients se retournèrent vers lui en le dévisageant, il répondit avec un sourire sarcastique.
— Cet homme c’est Max Ernst, le Spadassin. Dit alors Josef.
Se dirigeant vers le bar, la lumière tamisée de la taverne se reflétait faiblement sur le cuir noir de ses vêtements. Certains clients sursautaient quand il passa un peu trop près de leur table. Au comptoir il commanda une bouteille d’alcool et se dirigea vers une table située dans un coin de la salle. Les clients attablés se précipitèrent pour libérer la place.

Peu de temps après l’arrivée de Max, deux jeunes nobles et leurs quatre gardes du corps aux allures de gorilles furent leur entrée dans la taverne :
— Oh dites donc, Cher Ami ! Quel établissement pittoresque ! En riant bêtement.
Visiblement déjà ivres ils se gaussaient ouvertement et sans discrimination de tous les clients présents. Leur petit jeu consistait à avaler une certaine quantité d’ale et à la recracher sur quiconque à proximité. Par malheur cela se produisit sur Frederik !

Quelque peu excédé (il n’en faut pas beaucoup), Frederik commença à se lever lorsque Max repoussa sa chaise et s’avança vers lui :
— À votre place je ne ferais pas ça, cervelle d’oiseaux ! Pourquoi ne pas rester assis et vous amuser, comme tout le monde ?
La situation s’envenima et une bagarre s’en suivit.

Frederick fut battu et devint la cible de railleries des gens de la taverne (ainsi que de Gamrund). Il était temps de quitter la taverne, Josef nous emmena vers son bateau…
Sur le chemin nous nous sommes rendu compte d’être suivi par deux individus, puis soudainement on les aperçus soudainement tomber, abattus par des carreaux d’arbalète. En fouillant leur corps on remarqua qu’ils étaient tous les deux tatoués sur la poitrine : une main de couleur pourpre.

Nos aventuriers finissent par passer une bonne nuit sur le Bérébéli. Au petit matin Josef précipita le départ, la garde recherche nos héros, un noble à été tué durant la nuit !

Le voyage vers Weibruck

Au premier matin de leur voyage sur le canal de Weibruck (27 Jahrdrung), une patrouille rurale suivait le Bérébéli sur le chemin de halage… Ils se rendaient à la prochaine écluse afin d’avertir de la présence de brigands dans les environs.

Le 29 Jahrdrung nos aventuriers arrivèrent à Weibruck et purent s’amarrer près de l’une des auberges des écluses.

Lors des manœuvres d’amarrage, Reinhold remarqua un homme aux vêtements maculés par le voyage et qui se tenait dans l’ombre, dans l’encadrement de la porte de lŒil Noir (A), une auberge proche. Il observait les manœuvres et ressemblait étrangement à l’homme qu’il avait vu lors de son arrivé à Altdorf. Nos aventuriers décidèrent de l’accoster, il se retourna (ils purent voire alors son arbalète accrochée dans le dos) et rentra dans l’auberge. Une fois à l’intérieur, plus aucune trace de lui.

Nos héros retrouvèrent sa trace, il était descendu à l’auberge de la Trompette (B), sur place ils le trouvèrent en train de converser avec trois hommes au bar. Remarquant l’arrivée de nos héros, ils se dispersèrent dans les ruelles.

Nos aventuriers retournèrent alors au Bérébéli pour finir la nuit. Mais, pendant la nuit nos jeunes aventuriers furent réveillés par de la fumée, la bateau était en feu !

Sur le pont, ils furent immédiatement assaillit de carreaux d’arbalètes et l’étrange personnage vu précédemment les attaqua. Pendant que Frederik s’occupait de lui, Josef essayait désespérément d’éteindre le feu et Gamrund trancha les amarres pour éloigner le bateau des tirs d’arbalète.

Frederik vaincu non sans mal l’assaillant et une fois à l’abri loin de la berge, il trouva sur lui une lettre signée Q.F :

Vers Bögenhafin

La suite du voyage pour Bögenhafen pris 4 jours (du 30 au 33 Jahrdrung), sans aucun fait marquant…

P.-S.

31/10/2021
11/12/2021

Gamrund Stotter

Chef balistaire nain (70 ans ; 1m56 ; 79 kg ; Cheveux cuivrés ; Yeux marron foncé ; Grande taille)

M CC CT F E B I A Dex Cd Int Cl FM Soc
4 35 35 2 5 6 20 1 12 59 37 48 50 22
  • Compétences : Vision nocturne (30m) ; Bagarre ; Coups puissants ; Désarmement ; Esquive ; Exploitation minière ; Travail du fer ; Alphabétisation ; Résistance accrue ; Soin des animaux
  • Langages : Occidental ; Khazalide (nain) ; Jargon des batailles

Frederik

Chasseur de prime humain (26 ans ; 1m76 ; 75kg ; Cheveux mordorés très court ; Yeux marron clair ; Balafre)

M CC CT F E B I A Dex Cd Int Cl FM Soc
4 43 35 4 4 6 35 2 33 28 24 38 26 18
  • Compétences : Équitation ; Esquive ; Bagarre ; Coups puissants ; Désarmement
  • Langages : Occidental

Reinhold

Collecteur d’impôts humain (42 ans ; 1m80 ; 70 kg ; Cheveux roux ; Yeux marron clair)

M CC CT F E B I A Dex Cd Int Cl FM Soc
5 35 28 2 5 8 30 1 26 34 36 32 39 34
  • Compétences : Alphabétisation ; Baratin ; Calcul mental ; Numismatique ; Résistance accrue ; Législations
  • Langages : Occidental